Atoll

France, fabriqué en France

 

Je reconnais que – compte tenu de la solide réputation de la noble marque normande - présenter Atoll présent depuis plus de 30 ans sur le marché d’abord national puis rapidement international peut paraître superflu.

 

Oui, mais non. Pourquoi s’interdire de souligner les mérites d’une entreprise dont on apprécie particulièrement les valeurs, les produits, les rapports qualité/qualité/prix, la probité ?

 

Bien sûr, dans notre esprit, ce qui compte c’est la formidable association avec les enceintes hORNS ou ppfff

Car chose étonnante et rare, les qualités musicales indéniables et supérieures des électroniques françaises s’associent avec le même bonheur à des Aria 2 ou 3 de hORNS dont le faible rendement (annoncé mais pas constaté) et l’ampleur apprécient des amplificateurs – et électroniques au sens large – qui contrôlent habilement l’ensemble qu’à la série FP du même hORNS ou les enceintes ppfff qui préfèrent clairement des appareils en amont qui lâchent la bride…

 

D’où vient cette universalité ? Sans doute de la volonté de l’équipe viking de libérer autant que possible la contreréaction…

En tout cas, dès l’IN100 Signature, un Atoll, c’est du plaisir envoûtant garanti. Et pour le long terme.

https://www.lebeauson.fr/a-l-oreille/279-atoll-in100-signature-signe-atoll

 

Un SDA300 Signature associé à une paire d’Aria 3 ou de FP12 vous permettra de partager une longue vie de musique quand bien même vous pouvez – cela va de soi - emmener les mêmes enceintes – dont le rapport qualité/musicalité est fracassant – bien plus loin encore.

A commencer par une combinaison de la gamme 400 Evo : belle perspective en découvrant les IN400 Evo et CD400 Evo (en avant-première pour celui-là) …

Franchement, on retrouve exactement les fondements de hORNS : le prix n'est pas déterminé par telle ou telle comparaison mais par un respect absolu du client, par une production rationnalisée au maximum.

Or, un IN400, ça peut provoquer et terrasser d'arrogants Goliath de la Grande-Hifi-Internationale dont le seul mérite repose sur des ressources déloyales de com, ou d'un passé surévalué.

 

Certes il y aura toujours des grincheux pour se gausser - au prétexte d'une malencontreuse écoute faite il y a trente ans et pas forcément dans des conditions idéales ou nantie d’aprioris parce que Linn ou Naim, c’est insurpassable (vraiment ?) - d’une marque affirmant une identité claire : la recherche de la vitalité, l’enthousiasme expansif plutôt qu’un vague confort lénifiant.

Précisément une option qui nous réjouit !

Celle qui, à une flatteuse mais mensongère beauté, préfère la diversité du vivant, des vivants.